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dimanche 2 décembre 2018

Une aventure au bout du monde pour sauver la planète !!

HANS, île universelle pour prendre conscience c'est aussi la nôtre - Cliquez ici !

"Aujourd'hui l'intérêt commun - y compris de conserver un climat viable pour tout le monde -  ne justifie plus qu'on exerce une pression sur le confort personnel, individuel des individus qui ont le droit finalement de se chauffer autant qu'ils veulent." C'est une anecdote….
" Il est temps d'avancer, et pour avancer, il faut partir, Rompre. Règle numéro 1 : rompre avec ses peurs."
" Au bout du compte, j'ai l'impression d'être presque tout seul à porter ce message, adhérer ne suffit pas à modifier les choses et avoir une influence constructive sur le cours des choses qui semble-t-il est beaucoup plus puissant que nous mêmes…. et si je devais résumer mon propos, je citerai Vaclav Havel, politicien et philosophe et cette phrase que j'aime beaucoup :
"Sans révolution globale de la sphère de la conscience humaine, rien ne peut changer positivement, même dans la sphère de l'existence humaine, et la marche du monde vers la catastrophe sociale, écologique et humaine est irréversible."
Amorçons donc cette conscience humaine qui elle aussi a besoin de carburant !

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Je n'aurais jamais imaginé, avant de me fatiguer de le constater, les individus tellement dissipés, et observateurs plus que metteurs en scène de leurs propres aspirations. Je ne pensais pas que l'on pouvait observer une réalité aussi grave que la disparition des glaces, saisir les immenses répercussions que ce bouleversement planétaire aura sur toutes les générations à venir, sans remettre en question son rapport au monde. Je n'imaginais pas qu'organiser des débats et colloques pouvait tenir lieu de réponse au plus grand défi de l'histoire de l'humanité. E.H.
J'ai le sentiment qu'à s'occuper de tout et à vouloir nous épargner l'effort, en particulier l'effort sur soi, le progrès tend à faire de nous des êtres purement émotionnels, de moins en moins capables de prendre des responsabilités, de décider ou de gérer des crises, et de plus en plus réticents à s'organiser pour transformer en implication ce qui découle d'une nécessité ou d'un appel intérieur. E.H.
(…) parce que je suis convaincu, aussi, que ce qu'on apporte réellement au monde, c'est ce qu'on est prêt à donner de soi. E.H.
Dans un contexte de fuite institutionnalisée  de toute relation de contrainte liée à la nature, contrainte de température, de distance, d'effort physique ou de volonté, nous ne faisons malheureusement que fuir notre propre nature et repousser le moment où nous serons inévitablement amenés à la retrouver.E.H.
Le dérèglement climatique n'est pas un problème. C'est un désaveu. E.H.
L'exigence d'un peuple ne se réduit pas à une nécessité matérielle. L'exigence profonde ne se mesure pas, ne se monnaie pas, ne se dirige pas. Mais elle peut être étouffée. E.H.
 Quand je pagaie, il n'y a pas de différence entre ce que je fais, que pourrait constater un observateur, et ce que je suis. Il n'y a pas de séparation entre l'intention, l'acte et l'idée. L'enjeu de la vie est peut-être d'arriver à cette cohérence. J'ai des chagrins, des frustrations, des regrets, j'ai fait des erreurs dont je n'ai pas su tirer les leçons puisqu'il m'arrive de les répéter, mais il n'existe pas, je crois, une part de moi-même qui craint l'autre part, qui lui ment ou refuse de la considérer. Je ne connais pas de dualités entre mon cerveau droit et mon cerveau gauche, aucun mur de glace ne les sépare, et c'est pour cela que j'ai pu me rendre ici physiquement. La direction que je prends est une. Nous serions tous un si nous ne nous obstinions confusément à demeurer à l'écart de ce que nous pourrions devenir.E.H.
Ce n'est d'ailleurs pas une question d'aller bien ou mal. Il s'agit d'entrer dans le réel. Dès que je suis plongé dans les éléments extérieurs, mes errements s'évanouissent et j'intègre à nouveau mon rôle. Ainsi je m'acclimate sans même m'en apercevoir. E.H.
Nous avons tous dans nos gènes l'instinct de l'itinérance et de son rythme. Nous savons que pour préserver une ressource locale et pour ne pas attirer les prédateurs, nous devons régulièrement déplacer le campement.(…) Ce qui fait la supériorité de l'animal sur l'homme, c'est d'avoir conservé ses instincts les plus nobles et les plus gratifiants, parmi lesquels l'instinct de nomade et, cela étant, d'entretenir une grande curiosité pour l'environnement qui l'entoure. E.H.
La force du milieu fait la conviction de l'être : c'est l'obstacle qui forge la volonté, et c'est la volonté, la volonté seule, qui nous fait humain. Le corps ne nous appartient pas, il est l'outil que la nature a fabriqué et a mis à notre disposition, mais la volonté, la conscience, le choix, cela nous appartient.  E.H.

Aurions-nous peur ? N'ai-je pas peur de l'ours, peur de la mer, peur de la glace ? Si les individus voulaient réellement donner au monde une nouvelle chance, ils commenceraient par quitter leur zone de confort pour se rapprocher de ce qu'ils craignent. Alors ils deviendraient audacieux, drôles, poétiques, car c'est par l'audace, le rire et la poésie que l'on déjoue la peur. Et s'ils prenaient exactement conscience de l'impact de notre futilité présente et à venir, le gaspillage des énergies irremplaçables du passé enlèveraient à leurs yeux tout crédit au système auquel ils participent.E.H.

"Les hommes sont hantés par les songes, et les actions qui ont la couleur des songes sont plus fortes que les dieux " André Malraux



"La défense de l'homme et de son environnement est un problème de survie. Certains nient. Par intérêt ou par bêtise. Ce sont des inconscients ou des irresponsables. Tant pis pour eux. Les autres, quelle que soit l'issue finale, auront au moins la satisfaction du devoir accompli. Et ce sera peut-être leur seule récompense". Paul-Emile Victor



"Il est urgent de réveiller le nomade que chacun porte en soi; C'est le devoir de l'historien, de l'ethnologue, du philosophe, d'en finir avec le temps des colloques, de sortir de ses musées et de ses bibliothèques pour aider l'homme à se découvrir un autre lui-même dans ses vrais voyages que sous-tend son imaginaire". Jean Malaurie



"Et cependant, alors que l'image périssant en lui le fait périr, il ne souffre point et s'accommode de sa médiocrité sans la connaître. C'est pourquoi il convient en permanence de tenir éveillé en l'homme ce qui est grand et de le convertir à sa propre grandeur." Antoine de Saint-Exupéry



"De tout manière, il n'y a plus d'esquive possible aujourd'hui : ce que nous voulons sur terre, ce qui nous manque le plus cruellement, il faut nous décider de le mettre. Mieux encore, de le devenir nous-mêmes." Christine Singer



"L'homme raisonnable s'adapte au monde, l'homme déraisonnable s'obstine à essayer d'adapter le monde à lui-même. Tout  progrès dépend donc de l'homme déraisonnable." George Bernard Shaw.



"Nous passons notre vie à nous livrer des combats. Est-ce notre faute si nous ne parvenons pas à nous vaincre ?" Charles Cros



"La bravoure est encore la plus sûre des attitudes. Les choses perdent de leur épouvante à être regardées en face. " Alexandra David-Neel



"Ainsi, le progrès n'est plus dans l'homme, il est dans la technique, dans le perfectionnement des méthodes capables de permettre une utilisation chaque jour plus efficace du matériel humain." Georges Bernanos



"Le confort est un danger. Le bien-être est un piège. Les facilités nous détruiront. Les chairs grasses, les idées grasses et repues ne sont plus le privilège des bourgeois : nous sommes tous devenus des bourgeois ! Et puis il n'y a plus de sainte simplicité. Toute simplicité est suspecte. Vouloir simplifier nos relations au monde, nos relations aux autres, c'est la volonté du malade, de celui qui ne peut plus, qui abdique sa force." Alain Damasio



"Toute aventure humaine, quelque singulière qu'elle paraisse, engage l'humanité entière." Jean-Paul Sartre



"L'exemplarité n'est pas une façon d'influencer, c'est la seule." Albert Schweitzer



"Un être humain est une partie d'un tout que nous appelons : Univers […]Il s'expérimente lui-même, ses pensées et ses émotions comme quelque chose qui est séparé du reste, une sorte d'illusion d'optique de la conscience. Cette illusion est une sorte de prison pour nous, nous restreignant à nos désirs personnels et à l'affection de quelques personnes […]. Notre tâche doit être de nous libérer de cette prison en étendant notre cercle de compassion pour embrasser toutes les créatures vivantes et la nature entière dans sa beauté." Albert Einstein

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